Tur audio Sur les chemins d'Anglet : découverte de la faune et de la flore des
2 sights
- Sumar tur audio
-
Sumar tur audio
Durée approximative : 2 h
Textes : Miquèu Baris
Collaboration : IEO, IEO 40, Camille Jautrou (Service civique, IEO-FFCU)Visite disponible en français et en occitan (gascon).
N'oubliez pas de nous partager votre expérience de cette visite (notre questionnaire ici)
Pour se garer : nous vous conseillons le parking situé le long de l'Adour, sur les allées Marines. une fois les première partie du parcours (aller/retour vers l’Haritçague), nous vous conseillons de déplacer votre véhicule en direction du Parc du Maharin afin de minimiser votre temps de trajet retour).
--
Encore un quartier d’Anglet qui a assez changé avec le temps : les « Pontots » et son ruisseau emblématique, l’Haritçague. Aujourd’hui on dirait un égoût qui se jette dans l’Adour au pont de l’Aveugle. Mais il ne faut pas se fier à l’apparence actuelle ! Il sert de limite entre Bayonne et Anglet et il traverse à la fin de son cours la zone commerciale des Pontots, célèbre jadis par ses « pichourrès » et ses marchands se salades, vantés autrefois par Pierre Rectoran qui a su garder dans son Dictionnaire du Gascon Maritime le nom de toutes les plantes cultivées. Merci à lui !
Nous évoquerons aussi l’un des fondateurs avec lui de l’Académie Gasconne à Anglet, Carlito Oyarzun, et nous verrons le fameux pont de l’Aveugle, et pourquoi on l’appelle encore ainsi.
Enfin, nous irons le long du Maharin, jusqu'au parc du même nom, afin de découvrir un peu la végétation de la région : les chênes, qui ont donné leur nom basque au ruisseau l’Haritçague, les vergnes ou arbres des sabotiers, qui en faisaient les sabots c’est sûr, mais aussi les boules pour « décaniller » les quilles de trois. Nous parlerons aussi d’une plante qui existait déjà sur terre à l’ère primaire, la presle des marais, une plante médicinale mais aussi pour rendre service à l’homme… pour frotter et nettoyer les casseroles en étain !
Et les animaux, nous ne les oublierons pas : les amphibiens, l’espèce la plus menacée de l’humanité, comme les têtards d’alytes accoucheurs, de crapauds, de grenouilles ou de rainettes… Et enfin toute la variété des libellules ou des aeschnes, dans un mélange de couleurs à s’y perdre…Texte lu par Miquèu Baris
Ce circuit est potentiellement assez long et nous préconisons d'utiliser le vélo ou à pied (éventuellement en déplaçant la voiture depuis les Allées Marines au Parc du Maharin).
(C) IEO - Tots drets reservats / Tous droits réservés
- 1 Le ruisseau de « l’Haritzague ».
- 2 Le pont de l'Aveugle
- 3 Végétation et animaux à observer
- 4 Les amphibiens
- 5 Les prêles des marais
- 6 L'aulne glutineux
- 7 Les libellules et les aeschnes
-
Sumar tur audio
Durée approximative : 2 h
Textes : Miquèu Baris
Collaboration : IEO, IEO 40, Camille Jautrou (Service civique, IEO-FFCU)Visite disponible en français et en occitan (gascon).
N'oubliez pas de nous partager votre expérience de cette visite (notre questionnaire ici)
Pour se garer : nous vous conseillons le parking situé le long de l'Adour, sur les allées Marines. une fois les première partie du parcours (aller/retour vers l’Haritçague), nous vous conseillons de déplacer votre véhicule en direction du Parc du Maharin afin de minimiser votre temps de trajet retour).
--
Encore un quartier d’Anglet qui a assez changé avec le temps : les « Pontots » et son ruisseau emblématique, l’Haritçague. Aujourd’hui on dirait un égoût qui se jette dans l’Adour au pont de l’Aveugle. Mais il ne faut pas se fier à l’apparence actuelle ! Il sert de limite entre Bayonne et Anglet et il traverse à la fin de son cours la zone commerciale des Pontots, célèbre jadis par ses « pichourrès » et ses marchands se salades, vantés autrefois par Pierre Rectoran qui a su garder dans son Dictionnaire du Gascon Maritime le nom de toutes les plantes cultivées. Merci à lui !
Nous évoquerons aussi l’un des fondateurs avec lui de l’Académie Gasconne à Anglet, Carlito Oyarzun, et nous verrons le fameux pont de l’Aveugle, et pourquoi on l’appelle encore ainsi.
Enfin, nous irons le long du Maharin, jusqu'au parc du même nom, afin de découvrir un peu la végétation de la région : les chênes, qui ont donné leur nom basque au ruisseau l’Haritçague, les vergnes ou arbres des sabotiers, qui en faisaient les sabots c’est sûr, mais aussi les boules pour « décaniller » les quilles de trois. Nous parlerons aussi d’une plante qui existait déjà sur terre à l’ère primaire, la presle des marais, une plante médicinale mais aussi pour rendre service à l’homme… pour frotter et nettoyer les casseroles en étain !
Et les animaux, nous ne les oublierons pas : les amphibiens, l’espèce la plus menacée de l’humanité, comme les têtards d’alytes accoucheurs, de crapauds, de grenouilles ou de rainettes… Et enfin toute la variété des libellules ou des aeschnes, dans un mélange de couleurs à s’y perdre…Texte lu par Miquèu Baris
Ce circuit est potentiellement assez long et nous préconisons d'utiliser le vélo ou à pied (éventuellement en déplaçant la voiture depuis les Allées Marines au Parc du Maharin).
(C) IEO - Tots drets reservats / Tous droits réservés
Recenzii
Descărcați aplicația gratuită izi.TRAVEL
Creați-vă propriile tururi audio!
Folosirea sistemului şi a aplicaţiei ghid mobile este gratuită
